Lexique
Avertissement : Ce lexique provient de la fusion de différentes ressources qui ne sont plus utilisées (FAQ Debian, wiki, dico…). Il est très incomplet et assez mal maintenu, mais reste une source d'information nécessaire.
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A
- accounting
- comptabilité
- alternative
- solution de remplacement, de rechange
- area features
- options de zone
B
- back-end
- dorsal, de sortie (suivant contexte)
- backport
- rétroportage
- block device files
- fichiers de périphérique en mode bloc
- boot loader
- programme d'amorçage
- buffering
- retenir, mise en mémoire tampon
- bug tracking system
- système de suivi des bogues
- buildd
-
empaqueteur, service d'empaquetage
Buildd est un concept purement Debian. Il représente à la fois le service et le serveur qui ont pour but de fournir les paquets binaires en compilant les paquets sources.
Selon le contexte, on le traduit si on parle du service de l'empaqueteur. Si on parle de la machine, on peut aussi utiliser la périphrase « serveur d'empaquetage ». On trouve ce terme surtout dans les pages concernant les portages.
C
- calibration
- faux-ami : étalonnage
- CD-ROM
- CD pour désigner le support, conservé pour le périphérique : lecteur de CD-ROM (éventuellement cédérom)
- character device files
- fichiers de périphérique en mode caractère
- checksum
- somme de contrôle
- completion
- complètement
- compress (to)
-
compresser, compacter
Compresser des données consiste à leur faire subir un traitement réversible qui vise à leur faire occuper le moins de place possible.
Si la ressemblance avec le terme anglais vous gêne, vous pouvez vous tourner vers compacter.
Notez qu'en dehors du contexte informatique, to compress est la plupart du temps plus heureusement traduit par « comprimer », d'acception plus large.
- compression
- compression, compactage
- couple
- quelques
- custom
- personnalisé
D
- daemon
- démon
- Debian GNU/Linux
- Debian GNU/Linux
- dependency
- dépendance
- depot
- dépôt, archive publique
- display manager
- gestionnaire de session
- diversion
- détournement
- divert (to)
- détourner
- diverted
- détourné
- driver (device driver)
- pilote (de périphérique)
- domain name
- nom de domaine
- Domain Name System (DNS)
- système de résolution de noms de domaine (DNS)
- downgrade
- mise à un niveau inférieur, abaissement du niveau
- dump (to)
- copier, afficher, récupérer
- DVD-ROM
- DVD
E
- courriel, adresse électronique
- epoch
- époque — date de référence (sous UNIX, c'est le 1er janvier 1970 à 0 heure (UTC))
- error handler
- routine de traitement d'erreurs
- escape sequence, escape character, to escape (a string, a character)
- séquence d'échappement, caractère d'échappement, protéger ou échapper
(une chaîne, un caractère)
Le caractère d'échappement, auquel on fait souvent référence par l'abréviation ESC, a été inventé pour permettre de signaler que les caractères qui le suivent doivent être interprétés d'une manière différente de ceux qui le précèdent. Concrètement, cela permet un changement de mode, le plus souvent pour passer des commandes au périphérique ou à l'ordinateur qui reçoit les données en entrée.
La séquence d'échappement désigne l'ensemble composé par le caractère d'échappement et les caractères qui suivent.
L'éditeur vi, qui distingue un mode insertion et un mode commande, le passage du premier au deuxième se faisant par le biais de la touche d'échappement, illustre bien le principe de ce fonctionnement.
Les séquences d'échappement des terminaux ont fait l'objet d'une normalisation ANSI. Vous pouvez en trouver des exemples d'utilisation dans le Bash-Prompt-HOWTO. Une fois que vous vous serez fait la main sur l'invite de votre interpréteur de commandes, vous pourrez en faire profiter vos amis pour peu qu'ils utilisent Mutt, et que la perspective de violer la netiquette ne trouble pas votre âme intrépide.
Le caractère d'échappement ASCII est le code 27, 0x1B, ou encore 033.
Il existe d'autres conventions, comme le jeu de commandes Hayes des modems, qui utilise la séquence « +++ » comme caractère d'échappement.
Le langage C a popularisé l'antislash ('\') en tant que caractère d'échappement, ainsi qu'un certain nombre de séquences d'échappement. Comme ces séquences comprennent la possibilité d'ôter à certains caractères leur signification pour le compilateur (comme l'antislash lui-même, ou l'apostrophe), le terme caractère d'échappement a pris par extension le sens de caractère permettant de faire en sorte qu'un caractère, ou une séquence de caractères, donné « échappe » au traitement d'un interpréteur, d'un préprocesseur, d'un analyseur, etc.
Dans un souci de clarté, il est préférable de parler dans ce cas de « protection » du ou des caractères échappés.
Ainsi, le point (« . ») représente n'importe quel caractère dans une expression régulière. Pour faire correspondre l'expression au caractère du point lui-même, il faut le protéger à l'aide du caractère d'échappement « \ », ce qui donne « /\./ ».
Ou encore, pour éviter que le caractère « $ » soit interprété comme un opérateur de déréférencement de variable par l'interpréteur de commandes Bash, il convient de le protéger à l'aide du caractère d'échappement « \ » ou en le plaçant au sein d'une expression entre apostrophes.
- essential
- essentiel (pour dpkg)
- little-endian, big-endian, middle-endian, endianness
-
Désigne la manière dont un ordinateur organise les octets qui composent un mot. Un ordinateur dont la numérotation des octets commence par les octets de poids fort est dit « gros-boutiste » ou « gros-boutien ». À l'inverse, un ordinateur qui attribue le premier octet d'un mot à l'octet de poids faible est dit « petit-boutiste » ou « petit-boutien ».
Certains fabricants de mini-ordinateurs, pénétrés de la devise Shadock en vertu de laquelle il faut éviter de faire simple si l'on peut faire compliqué, ont introduit une variante particulièrement perverse en appliquant les préceptes gros-boutistes au niveau de l'octet et petit-boutistes au niveau du demi-mot (ou l'inverse). Cette déviance sociopathe est qualifiée de « mi-boutiste » ou « mi-boutienne ».
Ainsi, le nombre 0x1A2B3C4D sera codé de la manière suivante :
Gros-boutiste 1A 2B 3C 4D Petit-boutiste 4D 3C 2B 1A Mi-boutiste, tendance « ZO MEU GA BU » 3C 4D 1A 2B Mi-boutiste, tendance « BU GA MEU ZO » 2B 1A 4D 3C Quelques petits-boutistes célèbres :
- la famille Intel et ses clones ;
- Alpha ;
- Arm ;
- Vax.
Quelques gros-boutistes célèbres :
- les architectures 68k, HPA-RISC, MIPS, PowerPC et SPARC ;
- la machine virtuelle Java ;
- le protocole IP.
Il n'y a pas de mi-boutistes célèbres.
L'expression a été employée pour la première fois dans un contexte informatique par Danny Cohen, dans un article paru dans la revue « IEEE Computer » (vol. 14, no 10). Le terme est emprunté aux Voyages de Gulliver de Jonathan Swift, où l'expression « Big-Endian » est employée pour désigner ceux qui brisent une coquille d'œuf par le gros bout (« big end ») par opposition à ceux qui la brisent par le petit bout (« little end »).
Nombreux sont ceux qui prônent l'usage de « boutien » en référence à la traduction de Jacques Pons (ed. Gallimard, coll. Folio, 1976), visant par là à préserver l'allusion originale. Jacques Pons semble s'être lui-même appuyé sur une tradition remontant à l'abbé Desfontaines, premier traducteur de Swift, qui avait commis « Gros-boutiens ». Il est toutefois à noter que la traduction de Guillaume Villeneuve (ed. Garnier-Flammarion, coll. GF, 1997) a opté pour « Gros-boutistes ».
La querelle qui oppose les partisans de « boutien » à ceux de « boutiste » n'est pas moins féroce que celle qui fut à l'origine d'une guerre civile à Lilliput. Liberté est donc laissée au traducteur de choisir celui des deux termes qui convient à son obédience. Les termes « petit (ou grand) indien » sont en revanche vivement déconseillés.
Vous pourrez vous faire une idée du débat en consultant les archives de la liste.
Selon le Jargon, les différentes variantes du boutisme sont parfois appliquées aux formats des dates : le format américain mois/jour/année est alors qualifié de mi-boutiste (mais pas par les américains eux-mêmes ; personne ne se vanterait d'être mi-boutiste) par opposition au format petit-boutiste européen (jour/mois/année) et au format gros-boutiste japonais (année/mois/jour).
F
- FAQ
- Foire aux questions
- failure
- échec
- feature area
- zone d'option
- file details field
- champ des détails du fichier
- firmware
- microprogramme
- force
- forçage
- front-end
- interface, frontal, surcouche, lanceur de programme
- to fsync
- synchroniser des fichiers (à l'aide de fsync)
- fix (a bug) (to)
- corriger (un bogue)
- full-featured
- complet, riche en fonctionnalités
- fully qualified domain name (FQDN)
- nom de domaine pleinement qualifié (FQDN)
- foo, bar, baz
- toto, titi, tata
« Foo » et ses amis sont employés à titre d'exemple en lieu et place d'une valeur dont la détermination sort du cadre de l'exemple en question.
Si vous souhaitez en savoir plus sur l'origine de ces idiotismes, vous trouverez des spéculations passionnantes dans le Jargon.
G
- garbage
- mémoire devenue inutile mais non libérée, résidu
- generate
- engendrer, fabriquer, produire (Laurent Voisin)
- glob, globbing code
- étendre les motifs, code pour l'expansion des motifs
Lorsque l'on rencontre cette traduction pour la première fois, on est souvent tenté de traduire par englobant. Il s'agit bien ici d'un faux ami.
Les « globbing » codes sont des expansions de motifs. On peut les comparer à des expressions rationnelles. Historiquement, glob était un sous-programme qui étendait les « wildcards » (caractères génériques ou jokers) dans les premières versions de l’interpréteur de commandes Unix Bourne.
On est par exemple amené à traduire « glob » lorsque l'on parle d'étendre les noms des fichiers, par exemple dans un client FTP, un interpréteur de commandes…
- gotcha
- idiosyncrasie
En argot américain, « gotcha » est une contraction de « got you » (« tu t'es fait avoir »). Cette expression est souvent utilisée pour désigner une fonctionnalité source de problème car elle est souvent mal comprise.
Traduire de l'argot américain en français correct est souvent difficile, mais on peut proposer « idiosyncrasie », signifiant « manière d'être particulière à un individu qui l'amène à avoir des comportements qui lui sont propres ». En fait, une bonne traduction de « gotcha » serait plutôt « idiosyncrasie qui peut être source d'erreurs », ou la périphrase complète « fonctionnalités ambiguës pouvant être à l'origine d'erreurs de programmation », mais c'est un peu lourd pour traduire sept lettres !
H
- handshake
- initialisation de connexion (dans le contexte SSL)
- handler
- gestionnaire
- hostname
- nom d'hôte, nom de machine
- header
- (un) en-tête
I
- incorporated
- intégré, incorporé
- to implement, implementation
- implémenter, mettre en œuvre, implémentation, mise en œuvre
« to implement » signifie mettre en œuvre, réaliser, mettre en pratique.
Dans un contexte informatique, les emprunts « implémenter » et « implémentation » sont désormais bien implantés. Si vous êtes sensibles aux arguments d'autorité, les dictionnaires récents les attestent depuis 1975.
Hors du contexte informatique, ou si votre religion s'oppose à l'usage d'emprunts à l'anglais, vous pouvez vous tourner vers des synonymes. Parmi ceux-ci, « mise en œuvre » est le plus fidèle et le plus polyvalent, mais le contexte peut vous amener à lui préférer un terme plus spécifique.
On rencontre à l'occasion les termes « implanter » et « implantation » pour rendre « to implement » et « implementation ». Il n'y a guère de justification à cet emploi d'« implanter » dans un sens qui n'est pas le sien, sinon une vague homophonie avec le terme anglais. Ce contresens est à bannir.
J
- junk
- rebut
K
- keycode, keymap
- code clavier ou code touche, distribution de touches
Quand l'utilisateur veut taper un « A » sur l'ordinateur, il inspecte le clavier à la recherche d'une touche avec un petit dessin de « A » dessus, et appuie dessus.
Du côté de l'ordinateur, le clavier envoie ce que les anglophones nomment « keycode » qui est grosso modo l'information sur la place de la touche enfoncée. Ce keycode est interprété par le noyau à l’aide de ce qui est appelé le « keymap », et qui donne la signification de chaque touche.
C'est comme cela que Linux sait que la touche est un A sur un clavier AZERTY et non un Q d'un QWERTY.
De plus, keymap désigne à la fois cette association, et le fichier qui contient la table de cette association.
En ce qui concerne la traduction de ces deux termes, il n'existe à notre connaissance aucun consensus bien défini. On a proposé les termes suivants, parmi lesquels le traducteur devra choisir :
keycode code clavier code de touche keymap distribution de touches carte du clavier disposition des touches fichier de description des touches carte d'attribution des touches disposition des touches (traduction d'Apple)
L
- library
- bibliothèque
- linker
- éditeur de liens
- locale, localization, localize (to), l10n
- paramètres régionaux, ou locale, localisation, localiser, l10n
Comme tout le monde le sait bien, la « localization » en anglais (abrégé en « l10n » car il y a 10 lettres entre le « l » et le « n ») consiste à adapter un programme ou autre processus électronique à la culture d'une région du monde. Cela consiste entre autres à afficher les messages non pas en anglais, mais dans la langue parlée dans cette partie du monde, à lui faire afficher la date comme de coutume ici, et ainsi de suite.
La « locale » est l'ensemble de plusieurs réglages à propos de la date, de la langue, de l'encodage des caractères, et ainsi de suite. Sous Windows, il est de coutume de parler de « paramètres régionaux », et cela semble une bonne idée. D'aucuns préfèrent cependant inventer le nom « locale » en français, par soucis d'homogénéisation vis-à-vis des traductions de « localization » et « to localize ». En l'absence de consensus strict sur ce point, le traducteur est libre de faire ce que bon lui semble.
La « localization » est l'action associée. On traduira par « localisation ». « to localize » est le verbe associé, traduit par « localiser ». L'abréviation « l10n » étant du jargon de technoïde, on ne devrait la rencontrer que dans des documentations techniques et non dans des documents destinés aux utilisateurs finaux. Dans le cas contraire, le traducteur devrait rapporter cette erreur à l'auteur du texte.
- low-end system
- système aux ressources limitées
M
- maintainer
- responsable (de paquet la plupart du temps)
- mailing list
- liste de diffusion
- matching
- correspondance, correspondant à, association
- mess
- état incohérent
- MIA, Missing in action
- Porté disparu
Un des gros problèmes de Debian est que tous les responsables sont des volontaires. Il arrive donc qu'ils disparaissent sans laisser d'adresse. Pour les désigner, les anglophones parlent de MIA. C'est l'abréviation de « missing in action », qui est un terme militaire américain comme « casualities » (pertes) pour désigner les portés disparus.
- multiarch
- multiarchitecture
N
- newsletter (DWN)
- gazette
O
- on hold
- gelé, {à garder, bloquer, en suspens, en attente, préservé, maintenu}(pour dpkg)
- overriding
- recouvrement (pour dpkg)
- out of memory
- mémoire insuffisante
- to override
- outrepasser, passer outre
- to overwrite
- remplacer, écraser
- overclock (to), overclocking
- surcadencer, surcadençage
L'un des jeux favoris des geeks est de régler finement leur ordinateur pour obtenir les meilleures performances possibles. Il existe même des individus passant plus de temps à régler leur machine qu'à l'utiliser vraiment. Chacun ses jeux…
Par ailleurs, il n'y a en général pas de différences réelles entre un processeur vendu pour fonctionner à 700 MHz et ceux pour fonctionner à 800 MHz. Disons qu'ils sortent le plus souvent des mêmes chaînes de production, mais que les premiers n'ont pas été testés pour une vitesse supérieure à 700 Mhz.
Dans ces conditions, il est évidement tentant d'augmenter la cadence de son processeur (il existe même des outils pour faire cette manipulation sur le processeur de sa carte graphique). Pour certains, c'est même devenu un sport.
On pourra traduire « overclocking » et « to overclock » par surcadençage et surcadencer. Ce n'est pas très français, mais c'est compréhensible en français, et de toute façon, les amateurs de ce genre de bidouille sont des geeks, et comprendront sans doute mieux le terme anglais (qu'on ne manquera pas de mettre entre parenthèses après la traduction).
P
- package
- paquet
- package management
- gestion des paquets
- padding
- remplissage, espacement
- passphrase
- phrase secrète
- parse (to)
- analyser, analyse syntaxique
- patch
- correctif, rustine
- pattern
- motif (de recherche), modèle
- pipe
- tube
- plain file
- fichier texte, fichier ASCII, fichier standard
- plain text
- texte simple, texte brut
- provide (to) (this package provides)
- procurer, contenir, fournir
- publicity
- publication
Q
R
- readlink
- solveur d'adresses
- release note
- note de version, numéro de version
- RAM disk
- disque virtuel, image de disque en mémoire
- repository
- référentiel, dépôt
- regular expressions
- expressions rationnelles
- return code
- code de retour. En revanche, une fonction renvoie une valeur.
- to rewind
- rembobiner, recommencer, revenir (à l'état précédent d'un paquet)
- root
- superutilisateur
S
- selected
- sélectionné (pour dpkg)
- support
- assistance, gestion
- (un)supported
- pris en charge, géré
- to scan
- numériser, parcourir (un fichier, un répertoire)
- to seek
- rejoindre, atteindre, traverser
- to set
- paramétrer, définir
- to stat
- analyser, extraire à des fins statistiques
- status
- état, état d'avancement
« Status » est un faux ami dont le sens correspond à « état d'avancement ». On le rencontre surtout dans les pages concernant les portages.
- stdin, stdout
- entrée standard, sortie standard
- stream
- flux
T
- translator
- traducteur (pour le Hurd)
- timestamps
- horodatage, estampille temporelle
- trailing garbage
- résidus restants
- transceiver
- émetteur-récepteur, microtransmetteur (expression utilisée dans certaines documentations, mais incorrecte)
- Top Level Domain (TLD)
- Domaine de tête (TLD)
- tweak
- modifier
U
- unpacked
- dépaqueté
- unpacking
- dépaquetage
- update
- mise à jour
- upgrade
- mise à niveau
- unable
- impossible de, préférer « incapacité à » ou « je ne peux pas »
- unable seek
- déplacement impossible, destination impossible
- uptime
- durée de fonctionnement
« uptime » est à la base le nom d'une commande classique indiquant le temps écoulé depuis le démarrage du système. Avec le temps, l'usage de cette locution pour désigner la valeur indiquée par le programme s'est imposée. On peut donc traduire « uptime » par « durée de fonctionnement ».
- utility
- utilitaire
V
W
- warning
- avertissement
- wildcard
- joker
- Wrap (to), Wrapper
- Encapsuler, Encapsulateur
L'un des fondements de la philosophie Unix (et donc Linux) est de faire de nombreux outils, chacun ne faisant qu'une seule chose, mais le faisant bien. Il n'est donc pas rare qu'un programme offrant une belle interface ergonomique fasse réaliser le travail proprement dit par un autre programme spécialisé en cela mais ne disposant que d'une interface en ligne de commande. On peut citer en exemple, les outils graphiques d'administration de base de données, ou les interfaces pratiques pour encoder un CD audio en mp3, Ogg vorbis ou autre.
En améranglais, on appelle « wrapper » les surcouches graphiques (ou autres) à des programmes préexistants, l'action associée étant « to wrap ». Mot à mot, cela signifie « emballer », comme on emballe du jambon dans un papier pour le vendre.
En informatique, on préfère souvent les termes « encapsuler », « encapsulation » et « encapsulateur ». On pourrait aussi penser à « envelopper », « enveloppe » et « enveloppement », mais ce n'est pas toujours une bonne idée (en fonction du contexte).
X
- X11-output
- sortie graphique X11